Jean-Pierre Mas, c’est votre première participation à Connect. Quelles sont vos impressions ? Vous m’avez confié avoir apprécié la liberté de ton des échanges…
Effectivement, la première chose que j’ai observé c’est la liberté. Liberté de ton, liberté d’expression, sans contrainte. Je connais bien les réunions de vendeurs dans les réseaux par exemple. C’est beaucoup plus contraignant et corseté parce qu’il y a évidemment la politique du réseau à respecter. Alors qu’ici, la liberté totale d’expression déclenche la créativité des gens. Je les ai trouvés très inventifs, très prospectifs ce qui est rassurant sur la qualité de la profession et son avenir.
Quels seraient les points à améliorer dans l’opération ?
Je ne vois que peu de points d’amélioration dans le contenu. Sinon, pour rigoler, s’il y avait un peu de vin lors des déjeuner… (Au Qatar, les restaurant de ville ne peuvent pas servir d’alcool. NDLR). Trêve de plaisanterie, je trouve le format bon, le travail par groupe bon, et d’ailleurs, j’ai senti les groupes très homogènes. Je ne vois vraiment pas ce qu’il y aurait à changer. Je note que le compte-rendu des travaux sous la forme humoristique est une très bonne idée. Si nous avions eu huit restitutions très formelles, nous aurions pris le risque de nous ennuyer et donc de perdre en intérêt et en compréhension.
Seriez-vous présent à la prochaine édition ?
Encore faut-il que je mérite d’être réinvité… Cela se gagne manifestement. J’ai mis dix ans à venir… Alors on verra dans dix ans ! Il y a des chances pour que cela ne soit pas moi… Dans tous les cas, ce serait avec plaisir !
Patrick Lopez
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